ardeur liaison confidence

Agenda. Fantaisie n°1

by Admin
La trotteuse lui tient la gorge, si tendre et subtile. Après avoir apprécié la sensation de son entrejambe dans votre main à travers votre jean, vous le déboutonnez
Vous suivez une fille par une belle chaude journée d’hiver. Elle porte une veste ajustée et à ses pieds se trouvent un jean qui épouse parfaitement ses jambes fines et ses fesses élastiques. Vous la regardez marcher en remuant les fesses. Et maintenant, vous vous retrouvez dans la pièce avec elle, elle vous tourne le dos. Vous la serrez dans vos bras, lui prenez son entrejambe, la serrez avec votre main, vous amenez son cul élastique. La trotteuse lui tient la gorge, si tendre et subtile. Après avoir apprécié la sensation de son entrejambe dans votre main à travers votre jean, vous le déboutonnez. Et maintenant, votre main y grimpe déjà, la saisit à travers le tissu fin du collant, ici vos doigts sentiront déjà sa chaleur, cachée dans ses profondeurs. Votre pénis se dresse et frotte contre son cul élastique, et vos doigts serrent ses lèvres avec vos doigts. Elle ouvre simplement la bouche et respire profondément. Votre main retire l'élastique du collant et passe en dessous. Sentir le tissu lisse de la culotte avec mes doigts. Il fait tellement chaud et agréable là-bas. Vous commencez à la caresser ou simplement à fouiller dans cette fine culotte - la seule dernière barrière à son trésor. Vous les déplacez sur le côté et votre doigt pénètre dans cette profondeur chaude et humide. Elle laisse échapper un gémissement... un gémissement de plaisir, vous lui serrez la gorge et insérez un deuxième doigt dans sa fente serrée. En les retirant, vous les passez sur ses lèvres et abaissez votre main dans sa culotte et trouvez son petit bourgeon, le touchant ce qui provoque un gémissement, elle écarte les jambes, mais vous n'appréciez pas son intérêt. Vous la penchez sur la table devant elle. Ne prêtant pas attention à sa légère résistance, vous la tenez par les cheveux, de l'autre main, enlevant son jean, ses collants et sa culotte d'un seul mouvement, exposant ainsi son tendre cul. Ses fesses élastiques. Vous lui donnez une fessée avec votre paume sur sa fesse droite élastique. Elle crie et essaie de se relever, mais votre main la tient fermement par les cheveux, pressant son visage contre la table, et un autre coup sur l'autre fesse. Vous enlevez votre pantalon et, après avoir sorti votre pénis dur, crachez sur votre main et lubrifiez-la, en pointant sa tête dans son trou étroit entre ses fesses. Elle se tient sur la pointe des pieds et prie : - Non, non, n'y va pas, mais n'y va pas ! Mais on n'entend pas sa tête, ouvrant étroitement son anus serré, elle gémit, ça fait mal, son pénis s'enfonce plus profondément, plus étroitement, centimètre par centimètre, déchirant ce trou étroit. Elle pleure et vous demande d'arrêter lorsque vous la entrez complètement, la laissant s'habituer à vous, mais plus encore pour profiter de son trou serré. Et la seconde suivante, vous commencez à bouger en elle, la baisant avec votre bite, lui causant de la douleur et une nouvelle sensation aiguë de plaisir. Votre pénis est si étroitement enveloppé, si serré et si chaud. Tu la baises, tu l'utilises comme une chose que tu jetteras simplement plus tard, mais maintenant elle est à toi. Son cul te procure un plaisir magique, tu la baises plus fort et plus brutalement jusqu'à ce que ta bite commence à palpiter en elle. Vous la tirez par les cheveux, en la mettant à genoux et en la tenant également fermement par les cheveux à la racine, de l'autre main, tout en caressant votre pénis, vous le dirigez vers son visage. Encore un effort et une grosse graine en jaillit, du sperme éclabousse son visage, des caillots tombent sur ses cils, son front, son nez, ses joues et le reste tu libères sur ses lèvres tendres... Tu la laisses partir. Vous fermez votre pantalon et partez. Vous l'avez utilisé, vous n'avez plus besoin de cette chose.
Et maintenant, votre main y grimpe déjà, la saisit à travers le tissu fin du collant, ici vos doigts sentiront déjà sa chaleur, cachée dans ses profondeurs.